Dans son dernier ouvrage intitulé "Tu m'aimes bordel ?!", le sociologue Herbert Von Ravioli-Potatoes évoque l'hypothèse selon laquelle l'amour fraternel s'émancipe sur le terreau fertile de la rivalité et du cynisme insolent.
En gros, tel un coquelicot vigoureux naissant triomphalement au sommet d'un tas de fumier à l'aube dorée d'un beau matin d'été, l'amour fraternel pousse généreusement sur l'engrais fécond de l'irrévérence verbale et de la grossièreté bienveillante.
C'est exactement ça ! On dirait mes deux grumeaux :D
RépondreSupprimerNous aussi on t'aime crotte de nez qui pue ! <3 <3
RépondreSupprimerTellement vrai ! Et encore plus drôle lorsque 2 amours fraternels qui ne veulent rien perdre de leur virilité s'exprime... Les mêmes mots, Bourrage de coups de poing en plus,
RépondreSupprimerah me voilà rassurée ! mes 2 trolls des cavernes sont fous d'amour l'un pour l'autre, alors !
RépondreSupprimerÇa me rappelle ma soeur et moi à la pre-adolescence ! Nos parents se désespéraient. Mais ça finit par passer...heureusement ! :-)
RépondreSupprimerOn dirait les miens !
RépondreSupprimergarçon et fille encore maintenant à 26 et 22 ans respectivement, s'envoient des "vacheries", se "bagarrent", mais l'un comme l'autre, ils seront toujours là pour l'autre ...
RépondreSupprimerMes ado(e)s doivent s'adorer en fait. Ouf, je suis rassurée !
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