Et pour ceux qui n'ont pas suivi, pour remonter à la genèse du "Je peux pas, j'ai un chat sur les genoux", je vous renvoie à la lecture du Tome 2 de Chat-Bouboule.
Mais si on pouvait mettre un chat (bouboule ou pas) sur les genoux de tous les dirigeants politiques, militaires et fanatiques du monde entier, on aurait la solution pour d'une paix durable.
Oh, celle-là, Franquin l'avait faite avant! Voir par exemple ici : https://twitter.com/amsellemyves/status/647783641792315393
"Si tous les généraux et amiraux du monde, quelles que soient les couleurs et les étoiles, avaient chacun un chat sur les genoux, hébin moi je me sentirais vachement mieux !" (Gaston Lagaffe / Franquin)
Bien vu et bien représenté. Nous dormons le postérieur à l'air, confiants, ne s'attendant pas à être sur-pris par derrière ! Corps et esprit gavés, trop bien (ou mal) nourrit par ce que nous voulons bien avaler.
Mais si on pouvait mettre un chat (bouboule ou pas) sur les genoux de tous les dirigeants politiques, militaires et fanatiques du monde entier, on aurait la solution pour d'une paix durable.
RépondreSupprimerPôv' bête !
RépondreSupprimer<3
RépondreSupprimerBelle référence à Franquin et Gaston (et son chat qui faisait le malheur de Prunuelle) :)
Oh, celle-là, Franquin l'avait faite avant! Voir par exemple ici : https://twitter.com/amsellemyves/status/647783641792315393
RépondreSupprimer"Si tous les généraux et amiraux du monde, quelles que soient les couleurs et les étoiles, avaient chacun un chat sur les genoux, hébin moi je me sentirais vachement mieux !" (Gaston Lagaffe / Franquin)
Moi j'aime bien cette raison de rester assis dans un fauteuil. Longtemps, c'était une de nos meilleures excuses pour ne rien faire!
RépondreSupprimerah ouiii je me disais bien que ça me disait quelque chose :p
RépondreSupprimerOkay vais ressortir ma collection de gaston !
Bien vu et bien représenté. Nous dormons le postérieur à l'air, confiants, ne s'attendant pas à être sur-pris par derrière !
RépondreSupprimerCorps et esprit gavés, trop bien (ou mal) nourrit par ce que nous voulons bien avaler.