Serial-fantasmes 3

Petite note à l'attention des fétichistes du slip : ça marche aussi avec les culottes de Tata Fernande, mais c'est très cruel.

Mère indigne et chocophage

Rhôôôôô ça va !
Elle me remerciera plus tard de lui avoir épargné un excédent précoce de cellulite fessière.

De l'art de la menace dans l'éducation des grumeaux

Communiqué outrageusement offusqué de l'amour-propre
du Bouffon de la République

Calomnie !
C'est même pas vrai !
Je suis un véritable cordon-bleu !

Je réussis très bien les sandwichs à la mayonnaise.

Serial fantasme 2

Petite note à l'attention des supporters de foot équipés de grumeaux vagissants : ça marche aussi avec une corne de brume.

Serial-fantasmes

Parfois, lorsque la chieuse progéniture aux élans braillards s'époumonne à vous faire frire les tympans et sauter les plombages à grands renforts de décibels assassins , il est un ultime refuge où tout peut enfin redevenir calme et volupté : le serial-fantasme de la bonne mère de famille.
Une sorte de terre promise chimérique où la mère indigne qui sommeille en chacune de nous, enfin libérée des conditionnements doltopédagogiques de convenance, exprime sans inhibitions sa créativité en matière de rétorsion éducative.

PS : amis des animaux, rassurez-vous, aucun éléphant n'a été maltraité dans ce dessin.

Ressuscitage

Triste corollaire de la condition parentale : on ne peut même pas agoniser en paix.

Je ne dis pas merde, mais je le pense

Chère concipriote, cher compatoyen, mon agrafeuse,

Ton Bouffon se voyant contraint de partir en voyage diplomatique, il laisse sa République bananière aux mains de ses ministres durant quelques jours.

Et en attendant le retour de ton Bouffon, le Musée des Croûtes de grande valeur et du Chef-d'œuvre en péril te propose ci-dessous une expo de Tagadart-fanarts contemporain.

Régale-toi les mirettes et à lundi.

***

Biennale de Tagadart contemporain 2009

Merci à la brillante DAlice :-)

Merci à la talentueuse PicassAude :-)






Merci à l'illustrissime MirAurélie et Prosper :-)
Merci à la célèbre Carine Da Vinci :-)

Merci à la prestigieuse Pénélangelo :-)

De l'art de feinter le Grumeau

Le Grumeau dit "maman"... ça c'est fait.
Le Grumeau dit très bien "maman"...

... mais trop !

Car oui, avouons-le, tel un accro aux pâtes trop longtemps privé de nouilles, le Grumeau a parfois le "maman" compulsif, itératif et franchement crispant du chignon...

Et que celui d'entre-toi cher concipriote qui serait tenté de me rétorquer sournoisement et sentencieusement :

- "Tu vois, je te l'avais bien dit que ça te pendait au nez. Tu n'avais qu'à en profiter à l'époque où le Grumeau ne disait pas maman ! Et gnagnagnagna... blabla.. gnagnagna..."

Je rétorque :

"Meeeeeeeeeeeeeeeeeerdeeeeuuuuuuh !!!"

Mama Satanas

Suite des tribulations scientificio-cogitatoires du Professeur Amédé Tetdampoule, rattaché officiellement depuis hier au PRC (Portnawak Research Center©*).

Après avoir démontré hier l'incidence positive des germes sur le calme de l'habitat en milieu grumeautique, le Professeur Tetdampoule, plus fumant de la théière à neurones que jamais, vient de faire une nouvelle découverte hautement improbale et inutile mais on va en parler quand même parce que, y'a pas de raison.
Pour faire court, le microbe, tout teigneux et mal élevé qu'il est, non content de te transformer le nez en bulbe nodulaire à tendance patatoïde et généreusement suppurant, a tout de même le bon goût de rendre les grumeaux aphones. Et des fois, avouons-le, si on est une bonne mère indigne qui se respecte, c'est plutôt bien parce que ça nous met les tympans en RTT et c'est pas du luxe.

Merci professeur Amédé Tetdampoule pour cette brillante démonstration avec de vrais morceaux d'indigence scientifique dedans. C'est rassurant de voir que la science avance.

*© PRC : marque déposée par RIKKO Inc.

Pas touche la barrette !

Un des fondamentaux de l'éducation grumesque est la ré-pé-ti-tion.
Pas moyen d'inculquer la moindre miette de savoir-vivre à un grumeau sans s'égosiller péniblement le nerf et la patience à répéter sans cesse la même chose.
Selon ce principe, normalement, si tout va bien, avec un peu de chance, pas mal de hasard et une bonne dose de flegme et de persévérance, au terme d'une bataille acharnée et itérative le message devrait finir par se frayer un chemin jusqu'à une synapse grumesque un peu moins bouchée que les autres.
Et sinon, si ça ne marche pas, il reste encore le scotch...